A mi-parcours de sa mise en œuvre, le Plan stratégique de développement de l’éducation de base et de l’enseignement secondaire (PSDEBS 2021-2025) passe au révélateur annuel en matière de suivi qu’est l’instance du cadre partenarial, déployée en Mission Conjointe de Suivi (MCS), deuxième du genre à Bobo Dioulasso. Sont réunis autour de cette tâche, notamment les acteurs du MENAPLN, les Partenaires techniques et financiers, Les syndicats, les représentants de la société civile, les faitières de l’éducation.
Le PSDEBS repose stratégiquement sur les axes Pilotage, Accès, Qualité et Education non formelle, sur la base desquels il est évalué. Il est attendu de cette MCS 2, selon le Secrétaire Général du ministère de l’Education nationale, Ibrahima SANON, « le bilan technique et financier des activités et des financements de 2023 par axe stratégique ainsi que le suivi des indicateurs du PSDEBS retenus dans la matrice de mesure des résultats ».
Sera particulièrement suivi, l’impact des crises sécuritaire et humanitaire et la baisse des contributions au compte CAST, sur les indicateurs de performance du sous-secteur de l’éducation de base et de l’enseignement secondaire. D’ores et déjà les premières projections présument d’une réaction « résiliente » et « robuste » du système éducatif face ces épreuves, selon Adama TRAORE, le représentant du Chef de file des partenaires techniques et financiers. Il a réaffirmé l’engagement des PTF à soutenir le sous-secteur. A tous les acteurs de cette résistance, le Secrétaire Général a rendu un hommage appuyé.
L’aide-mémoire qui sortira de cette MCS, servira de base aux orientations qui seront données à la prochaine réunion des décideurs.
Source : ministereduc.burkina
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