Il a promis des réformes courageuses, une gestion participative et le dialogue dans la gestion du département de l’Education nationale. Un peu plus d’un mois après sa prise de fonction, Jacques Sosthène DINGARA, descend sur le terrain pour une tournée qui l’a conduit ce 25 janvier à Kaya et à Ziniaré. L’enjeu est de partager sa vision sur les questions éducatives avec les acteurs, s’approprier leurs profondes attentes, poser les bases d’un dialogue direct et inclusif.
A Kaya comme à Ziniaré, Jacques Sosthène DINGARA entouré de ses techniciens et responsables de structures stratégiques, a présenté la situation actuelle de l’éducation nationale, partagé les orientations gouvernementales et abordé les grands dossiers en cours. Le visage du système éducatif porte les stigmates des crises sécuritaire et humanitaire à travers les déplacements de populations dont des élèves et des enseignants. Avant la rencontre, le ministre a visité tôt ce matin le complexe scolaire et le CEG de Kuim-kuli à Kaya.
Relever le défi d’assurer la continuité éducative à ces enfants en rupture scolaire à travers les meilleures stratégies d’éducation en situation d’urgence, réussir la réforme curriculaire en cours, mettre en place un mécanisme diligent de gestion des carrières du personnel et concrétiser les implications pratiques de la politique d’officialisation des langues nationales, sont les grands chantiers en cours.
Venus avec beaucoup d’enthousiasme à la rencontre de leur ministre, les différentes corporations, ont trouvé face à elles, un leader convaincu et à l’écoute de leurs préoccupations. Au-delà de sa réceptivité, c’est un engagement qu’il a pris dans la quête de réponses aux préoccupations exprimées.
Cette première étape d’une tournée nationale, a posé les bases d’une gestion concertée, participative de l’éducation nationale et galvanisé les troupes pour un système éducatif résilient.
Source : ministereduc.burkina
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