Concrètement, pour les élèves de sexe masculin inscrits dans les établissements publics, l’uniforme devra être constitué d’une “chemise ample et un pantalon descendant jusqu’aux talons, taillés dans le même tissu de couleur kaki, une paire de chaussures fermées ou des nu-pieds dont la semelle est retenue par une lanière”.
Pour les élèves de sexe féminin, “une chemise ample en popeline blanche, une jupe ovale et/ou plissée, de couleur kaki, couvrant les genoux et une paire de chaussures fermées aux semelles plates ou des nu-pieds dont la semelle est retenue par une lanière”.
Quant aux élèves inscrits dans les établissements privés, “une chemise ample et un pantalon descendant jusqu’aux talons pour les élèves de sexe masculin, et une jupe ovale et/ou plissée couvrant les genoux, pour les élèves de sexe féminin. Une paire de chaussures fermées aux semelles plates ou des nu-pieds dont la semelle est retenue par une lanière”.
Les privés peuvent intégrer la cravate aux uniformes
S’ils choisissent les couleurs des tenues de leurs établissements, les promoteurs privés peuvent également “intégrer la cravate à l’uniforme scolaire”, a autorisé le ministre.
Toutefois, avertit Dodzi Kokoroko, “les accessoires qui présentent un caractère ostentatoire, blasphématoire, ou indécent sont strictement interdits”.
Enfin, “la confection des t-shirts à l’effigie de l’établissement est subordonnée à un accord préalable entre le chef de l’établissement et l’association des parents d’élèves, qui conviennent du prix de vente aux élèves”. Par ailleurs, “l’acquisition et le port de ces t-shirts estampillés sont entièrement facultatifs pour les élèves”, a précisé le ministre.
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