Le comité d’organisation du festival Guémon Nebly a lancé, dimanche 16 juillet 2023, au sein du groupe scolaire Yah Fanny de Duékoué, les travaux de réhabilitation de l’école maternelle de ce groupe scolaire, en vue de créer des conditions adéquates de travail et procurer du sourire à ses pensionnaires.
Selon le président du comité d’organisation (PCO) du festival, Gildas Ouhon Déhé, ce projet est un creuset de rassemblement de tous les fils et filles de Duékoué, qui doivent œuvrer main dans la main, afin de répondre aux objectifs de cette semaine culturelle, qui sont, entre autres, la réhabilitation d’écoles, la formation des jeunes, le financement des projets pour les femmes.
«Aujourd’hui, nous démarrons ces actions par la réhabilitation de l’école maternelle du groupe Yah Fanny, afin de créer pour les apprenants et les enseignants un meilleur cadre de travail et donner du sourire aux enfants, les préparant ainsi à des apprentissages qualitatifs», a affirmé M. Ouhon.
Rassurant que son équipe et lui tentent d’élargir l’éventail de leurs actions dans tous les départements de la région du Guémont, le PCO a lancé un appel de fonds aux cadres et aux bonnes volontés pour poursuivre cette œuvre de bienfaisance.
La directrice de cette école maternelle, Christelle Ozoua, a remercié les membres de PERSEE Côte d’Ivoire, initiateur du festival. Elle a appelé également les âmes sensibles à l’initiative à emboîter le pas pour de meilleures conditions d’apprentissages dans cette école créée, depuis 1912, gage de cohésion sociale.
Le festival Guémon Nebly, en langue vernaculaire »Guémon chez moi », est une semaine culturelle qui se déroulera du 28 au 30 juillet à la place publique de Duékoué, avec au menu des prestations artistiques, des concours culinaires, de beauté, la distinction des personnalités fortes, etc.
Ce festival est un projet d’envergure qui tend à valoriser le riche patrimoine culturel de toute la région, à réhabiliter des édifices de la région et à fédérer et rassembler tous les fils et les filles résidents et ceux de la diaspora.
Source : AIP
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